BABYLONE 
 
Tu parles d’amour et d’amulettes 
De l’au-delà d’où tu reviens peut-être 
De livres où tu te r’magasines une vie 
Dis Babylone 
Quel est le jour où t’en Le jour où t’en ris 
 
Tu voyages à travers les miroirs 
De ceux-là qui sont faits pour pas se voir 
En est-il un qu’en secret tu recolles 
Hé hé Babylone 
Toi 
 
Seule comme un cri quand y a plus personne 
Ah si seule que même l’ennui t’abandonne 
Comment tu fais toi 
Puisque tu lis 
Quelqu’un sûrement l’a écrit
 
Le soir à la lueur d’une chandelle 
Tu chauffes ton corps ton âme et ses deux ailes 
Loin des matins blêmes où tu frissonnes 
Hé hé 
Babylone 
Toi 
 
Seule comme un cri quand y a plus personne 
Ah si seule que même l’ennui t’abandonne 
Comment tu fais toi 
Puisque tu pries 
Le ciel sûrement te l’a 
Sûrement te l’a dit

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