DIX-HUIT ANS
Dans les douces brumes des années d’école
Dans les brumes de ce temps-là
Tu suivais ton coeur sans carte ni boussole
Suivais ton coeur croisais les doigts
Les saisons pour toi c’était surtout l’automne
Et l’automne aux quatre vents
Te soufflait tout bas que tu n’étais personne
Comme on l’apprend des fois à dix-huit ans
Va le jour va la semaine
Va la vie comme il se doit
Elle avait les yeux à la claire fontaine
À s’y noyer chaque fois
Et au long de ces années qui nous emportent
Tout au long depuis ce temps
T’es revenu souvent dans ces couloirs d’école
Où tu as laissé tes dix-huit ans
Va le jour va la semaine
Va la vie comme il se doit
Elle avait les yeux à la claire fontaine
À s’y noyer chaque fois
Les amours malgré les années qui s’envolent
Les amours malgré le temps
Ces amours laissés dans un couloir d’école
Te rappellent que tu as toujours dix-huit ans
Dans les douces brumes des années d’école
Dans les brumes de ce temps-là
Tu suivais ton coeur sans carte ni boussole
Suivais ton coeur croisais les doigts
Les saisons pour toi c’était surtout l’automne
Et l’automne aux quatre vents
Te soufflait tout bas que tu n’étais personne
Comme on l’apprend des fois à dix-huit ans
Va le jour va la semaine
Va la vie comme il se doit
Elle avait les yeux à la claire fontaine
À s’y noyer chaque fois
Et au long de ces années qui nous emportent
Tout au long depuis ce temps
T’es revenu souvent dans ces couloirs d’école
Où tu as laissé tes dix-huit ans
Va le jour va la semaine
Va la vie comme il se doit
Elle avait les yeux à la claire fontaine
À s’y noyer chaque fois
Les amours malgré les années qui s’envolent
Les amours malgré le temps
Ces amours laissés dans un couloir d’école
Te rappellent que tu as toujours dix-huit ans