LE BONHEUR
Elle rentre à la maison un soir de septembre
Dans le bruissement des choses où glissent les heures
S’en va d’un pas tranquille à l’orée du silence
Va
Et tu l’aimes ainsi Comme tu n’as jamais rêvé
L’aimes à la folie
Comme tu n’as jamais pleuré
L’aimes avant ta vie
Comme tu n’as jamais prié
Elle elle
Et toi
Elle n’entend rien de la fureur qui gronde
Fracas d’humanité à l’assaut du jour
Elle coud son petit bonheur sur la frange du monde
Là
Et tu l’aimes ainsi
Comme tu n’as jamais rêvé
L’aimes à la folie
Comme tu n’as jamais pleuré
L’aimes avant ta vie
Comme tu n’as jamais prié
Elle elle
Et toi
Elle rentre à la maison un soir de septembre
Dans le bruissement des choses où glissent les heures
S’en va d’un pas tranquille à l’orée du silence
Va
Et tu l’aimes ainsi Comme tu n’as jamais rêvé
L’aimes à la folie
Comme tu n’as jamais pleuré
L’aimes avant ta vie
Comme tu n’as jamais prié
Elle elle
Et toi
Elle n’entend rien de la fureur qui gronde
Fracas d’humanité à l’assaut du jour
Elle coud son petit bonheur sur la frange du monde
Là
Et tu l’aimes ainsi
Comme tu n’as jamais rêvé
L’aimes à la folie
Comme tu n’as jamais pleuré
L’aimes avant ta vie
Comme tu n’as jamais prié
Elle elle
Et toi