TÉMOINS
Grand Alexandre
Sur un cheval de cendres
A juré de dire la vérité
J’ai cru ce qu’il fallait croire
Me voilà désarmé
N’ai pas de reine
Les amis que j’aime
Ils ne viennent plus souvent par ici
Je suis un morceau d’histoire
Détaché de ma vie
Thérèse est seule
Elle attend sur le seuil
A juré de dire la vérité
Mon maître est loin d’Avila
Libre de voyager
Il en a d’autres
Que moi je suppose
Mais voyez je n’aime que lui
Bien sûr il y a certains soirs
Où je me sens vieillir
Qui nous dira
Oui mais qui nous dira
Que la chanson se perd
Qui nous prendra par la main
Dans ce très long hiver
Pauvre Vincent
Dans ses derniers moments
A juré de dire la vérité
La vérité est un rêve
Où je reste enfermé
Prenez mes toiles
Mon corps et ses larmes
Tout ce bruit me brûle en plein midi
Je suis sans cesse à refaire
J’aurai trop mal appris
Oppenheimer
Dans un jardin désert
A juré de dire la vérité
Le sol s’est comme entrouvert
Là où j’ai mis le pied
Quitté de ma rue
Pour un tambour battu
Je suis l’ombre le froid et la pluie
L’homme est un cri solitaire
Où va loger ma nuit
Qui nous dira
Oui mais qui nous dira
Que la chanson se perd
Qui nous prendra par la main
Dans ce très long hiver
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Grand Alexandre
Sur un cheval de cendres
A juré de dire la vérité
J’ai cru ce qu’il fallait croire
Me voilà désarmé
N’ai pas de reine
Les amis que j’aime
Ils ne viennent plus souvent par ici
Je suis un morceau d’histoire
Détaché de ma vie
Thérèse est seule
Elle attend sur le seuil
A juré de dire la vérité
Mon maître est loin d’Avila
Libre de voyager
Il en a d’autres
Que moi je suppose
Mais voyez je n’aime que lui
Bien sûr il y a certains soirs
Où je me sens vieillir
Qui nous dira
Oui mais qui nous dira
Que la chanson se perd
Qui nous prendra par la main
Dans ce très long hiver
Pauvre Vincent
Dans ses derniers moments
A juré de dire la vérité
La vérité est un rêve
Où je reste enfermé
Prenez mes toiles
Mon corps et ses larmes
Tout ce bruit me brûle en plein midi
Je suis sans cesse à refaire
J’aurai trop mal appris
Oppenheimer
Dans un jardin désert
A juré de dire la vérité
Le sol s’est comme entrouvert
Là où j’ai mis le pied
Quitté de ma rue
Pour un tambour battu
Je suis l’ombre le froid et la pluie
L’homme est un cri solitaire
Où va loger ma nuit
Qui nous dira
Oui mais qui nous dira
Que la chanson se perd
Qui nous prendra par la main
Dans ce très long hiver
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